Décès de Claude Gaier, un des membres fondateurs du CLIRP, futur UPMC

Claude Gaier, un des membres fondateurs du CLIRP  (Cercle Liégeois de l’Information et des Relations Publiques de Liège),  futur UPMC, est décédé le 5 janvier à l’âge de 82 ans. Sa carrière a été foisonnante et mériterait plus qu’un communiqué : Docteur en Histoire, Chef des RP de la FN, Directeur du Musée d’Armes de Liège (musée connu mondialement), Secrétaire Général du « Grand Liège », membre du comité exécutif  de l’Association internationale des Musées d’Armes, auteur de plusieurs livres et de centaines de publications consacrés à l’art et à la technologie des armes anciennes et modernes et enfin un vrai communicateur depuis près de 50 ans ! L’UPMC souhaite souhaite lui rendre hommage et présente ses condoléances à sa famille.

CL GAIER 1938-2021

Pauline Eymael, la SOFICO et Zinacor : lauréats des Prix UPMC 2020

Pauline Eymael, la SOFICO et Zinacor : lauréats des Prix UPMC 2020

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Depuis 1999, l’UPMC remet ses Prix au cours d’un événement qui est devenu au fil des années un rendez-vous incontournable dans l’univers liégeois de la communication.

La 22e cérémonie des Prix de l’Union Professionnelle des Métiers de la Communication (UMPC) s’est déroulée sous forme d’un événement digital − situation sanitaire oblige − ce mardi 15 décembre 2020.

Ces prix UPMC récompensent les lauréats pour leur professionnalisme, leur créativité et leur engagement pour une communication positive.

Tous les dossiers de candidatures ont été examinés avec soin par un jury indépendant, composé des membres de l’Union Professionnelle des Métiers de la Communication. Ils ont décerné trois prix.

Les lauréats des Prix UPMC 2020


1. Le Prix Etudiant « Anne-Françoise PALEM »
récompense un étudiant d’une Haute Ecole ou de l’Université de Liège dont le Travail de fin d’études de l’année académique écoulée traite avec talent et esprit analytique d’un sujet reconnu pertinent en matière de communication.

Le prix Etudiant est attribué à Melle Pauline EYMAEL, de la Haute École de la Province de Liège, pour son travail de fin d’études intitulé « Les tueurs en série : précurseurs du personal branding ».

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2. Le Grand Prix UPMC récompense un événement marquant contribuant à la notoriété de la région liégeoise ou une entreprise liégeoise laquelle, par une action de communication externe ou interne, a conçu une manière remarquable de communiquer sur elle-même, avec un impact réel sur sa notoriété.

Le Grand Prix UPMC est attribué à la SOFICO – Société wallonne de financement complémentaire des infrastructures − pour la qualité de l’ensemble de ses actions de communication menées en 2019. www.sofico.org

3. Le Prix Digital, lancé en 2018, récompense une réalisation, une campagne, un site internet, une application ou une innovation remarquable dans le domaine de la communication en ligne en province de Liège.

Le Prix Digital est attribué à ZINACOR − leader dans la fabrication de fil de zinc et de zinc-aluminium − pour la refonte de son site Internet et de son identité visuelle, réalisée conjointement avec l’agence EPIC. www.zinacor.com

L’IFAPME recrute des professionnels intéressés de transmettre leur expérience

L’IFAPME recrute des professionnels intéressés de transmettre leur expérience dans le cadre des formations suivantes :

 

  1. Conseiller en relations publiques

Nous recrutons un formateur pour assurer un cours de « Pratiques des relations publiques » en 2ème année (52h). Il s’agit de mettre en pratique différentes notions liées aux RP (organisation événements, relations presse, campagne de communication, réseaux sociaux…) dans le cadre d’un projet concret avec les apprenants : organisation d’un événement de A à Z ou mise en place de la communication autour d’un événement existant.

Profil recherché : chargé de communication, conseiller RP, consultant…

Horaire et lieu des cours : Liège – cours les lundis soirs de 18h15 à 21h40 de novembre à juin (14 soirées sur l’année).

Contact : lora.spits@centreifapme.be ou 04/229.84.37

 

  1. Entrepreneur en e-commerce

Dans le cadre de l’ouverture d’une nouvelle classe d’entrepreneur e-commerce, nous recrutons un formateur pour accompagner nos étudiants dans la création de leur projet. Les cours à donner sont « définir son projet professionnel » (20h) et « suivi du travail de fin de formation » (12h). Ces cours visent à intégrer les notions vues dans les autres cours (conceptualisation et réalisation du site, gestion des paiements, référencement…) dans leur projet. Le formateur évaluera également les projets dans le cadre du jury de fin d’année.

Profil recherché : entrepreneur en e-commerce

Horaire et lieu des cours :– cours les lundis en journée – dates et heures à convenir

Contact : michel.mees@centreifapme.be et olivier.fabry@centreifapme.be ou 085/27.13.45

 

NB : Pour cette même section, nous recherchons également un formateur pour assurer le cours de « cadre juridique spécifique à l’activité e-commerce » (24h).

 

  1. Community manager (nouveauté 2020-2021)

Dans le cadre de la mise en place de cette nouvelle formation, nous recrutons un Community Manager afin d’assurer les cours liés à la finalité du métier.

Profil recherché : Community manager – communication 360° – professionnel des réseaux sociaux

Horaire et lieu des cours : Villers-le-Bouillet – cours en soirée le mercredi ou le jeudi (une classe a été également constituée à Verviers, pour laquelle le recrutement est plus avancé).

Contact : mariepierre.docquier@centreifapme.be ou 087/32.54.67

 

Les conditions pour devenir formateur sont les suivantes :
• Avoir un diplôme en lien avec la charge de cours (min. supérieur de type court) ;
• Être en activité professionnelle dans le domaine et le rester en même temps que la charge de cours : il s’agit d’une activité complémentaire à une activité principale dans la profession.

Le Centre IFAPME Liège-Huy-Verviers propose :
• un contrat d’employé à titre complémentaire (CDD d’1 an, renouvelable) rémunéré au barème de 35,09€/H (brut/50min) ;
• une intervention sur les frais de déplacement au tarif chemin de fer 1e classe (avec un minimum de 10km et un plafond maximum de 35km)
• un accompagnement pédagogique ainsi que des formations complémentaires (sur base volontaire).

Covid-19 : l’ABCI, WB Com et l’UPMC s’unissent et lancent la plate-forme defendonslescommunicants.be pour obtenir des mesures de soutien

En cette période aussi inédite que complexe, l’Association belge de la Communication interne (ABCi), WB Com et l’UPMC se sont récemment unies et ont ensemble interpellé les gouvernements wallon et bruxellois en vue d’obtenir une intervention urgente pour le secteur de la communication.

Les trois associations de communicants francophones: l’Association belge de la Communication interne (ABCi), qui regroupe plus de 200 communicants internes wallons et bruxellois, Wallonie Bruxelles Communication (WB Com), qui regroupe près de 400 communicants du secteur public de Wallonie et de Bruxelles et l’Union professionnelle des Métiers de la Communication (UPMC), qui regroupe 160 communicants en Province de Liège, se sont regroupés sous la bannière defendonslescommunicants.be.

C’est au nom de près de 800 professionnels, représentant des centaines d’organisations belges, que l’appel a été lancé ce mardi 5 mai 2020
auprès du Ministre wallon en matière d’économie, M. Willy Borsus, auprès du Ministre du Gouvernement fédéral en charge des indépendants et des PME, M. Denis Ducarme et auprès du Ministre du Gouvernement bruxellois en charge de l’Emploi et de la Formation professionnelle M. Bernard Clerfayt.
Pour votre complète information, vous trouverez sur le site :


Appel à votre soutien urgent

Dans ce contexte préoccupant, nous vous adressons un appel à soutien afin de renforcer notre action et vous invitons à laisser un commentaire ou un témoignage sur ce site. Vos messages démontreront que notre secteur d’activités mérite d’être pleinement soutenu en cette période.

>>> Laissez un message sur la plate-forme

Votre collaboration intense nous permettra de sensibiliser davantage les autorités politiques fédérales et régionales et permettrait d’obtenir des répercussions positives de celles-ci.

Ensemble vers une reprise des activités et des services B2B

Le plan de déconfinement se précise et nous nous dirigeons vers une première étape ce 4 mai. Nous vous relayons diverses informations qui sont susceptibles de vous intéresser.


1. Le guide générique “Travailler en toute sécurité” 

Réalisé par les partenaires sociaux du Conseil supérieur pour la prévention et la protection au travail en étroite concertation avec la Cellule stratégique de la Ministre de l’Emploi et des experts du SPF Emploi, le guide générique “Travailler en toute sécurité” fournit un cadre avec des mesures qui peuvent être adaptées afin de garantir que les activités puissent reprendre dans des conditions les plus sûres et les plus saines possibles.

D’autres informations sont disponibles sur le site : emploi.belgique.be


2. CopenVid

Nous vous permettons également de souligner l’initiative de la SPI ayant lancé récemment la plateforme Copenvid afin de savoir quelles entreprises sont ouvertes/partiellement ouvertes ou fermées.
Inscriptions et consultations gratuites : copenvid.be


3. Sécurité renforcée pour Zoom !

Suite à notre newsletter relative aux outils de communication parmi lesquels figurait la plateforme de services de téléconférence Zoom, nous vous informons que Zoom a très récemment annoncé le renforcement de sa sécurité suite aux problèmes de confidentialité rencontrés.


Continuez à prendre soin de vous. 
Au plaisir de vous retrouver en pleine forme !

L’UPMC agit pour tous les communicants et interpelle les Ministres Borsus et Ducarme

L’UPMC vous accompagne

En cette période de confinement, le Conseil d’administration et le Bureau exécutif de l’UPMC continuent à travailler en vue de défendre pleinement notre secteur d’activités.
Nous avons ainsi sollicité les autorités publiques wallonnes et fédérales afin de demander un soutien maximal au secteur de la communication au sens large.
Les informations et mesures prises par le Ministre Denis Ducarme ayant répondu à nos sollicitations sont reprises ci-dessous.

Le secteur de la communication au sens large (comprenant les agences de conseil en communication, agences spécialisées dans l’événementiel, agences de relations publiques, agences de graphisme, indépendants…) est touché de plein fouet et subit, comme beaucoup d’autres secteurs d’activités bien sûr, d’importantes pertes de recettes en raison de l’annulation d’événements ou de report d’activités.

1. Sondage

En témoignent les résultats éloquents de notre récent sondage réalisé entre le 9 et le 15 avril 2020 auprès de membres et de non-membres :

Les résultats du sondage démontrent clairement les fortes inquiétudes et craintes quant aux activités professionnelles des répondants (plus de 70%).

– Près de 40% des répondants ont dû arrêter temporairement leurs activités.
– Plus de 30% des entreprises sont déjà largement impactées.
– Selon 60% des répondants, la situation de leur entreprise va se dégrader.
– Plus de 65% précisent que cette épidémie engendrera un impact financier sur leur santé financière personnelle.

>Voir plus bas les résultats complets du sondage


2. Action de l’UPMC

Suite aux résultats de ce sondage, l’UPMC a interpellé ce jeudi 16 avril les autorités wallonnes et fédérales afin de leur demander un soutien maximal au secteur de la communication.

Dans une démarche constructive, nous avons ainsi sollicité les Ministres Willy Borsus, Ministre de l’Economie de la Wallonie et Denis Ducarme, Ministre des Indépendants en leur suggérant quelques propositions de solutions concrètes afin qu’ils soutiennent de manière efficace notre secteur d‘activités. Nous avons demandé :

– La reconnaissance du secteur de la communication au sens large.
– La mise en place d’un fonds extraordinaire pour les entreprises de ce secteur (entreprises et indépendants).
– L’augmentation du droit-passerelle adapté en fonction de la situation de chaque indépendant & un élargissement des codes NACE afin que l’ensemble des indépendants du secteur de la communication puisse bénéficier de ces indemnités.
– Le report, voire l’annulation, des charges et cotisations sociales pour les trimestres concernés ainsi que le report, voire l’annulation, de la TVA pour les trimestres concernés.

> Voir courriers adressés aux Ministres Ducarme et Borsus


3. Pour les indépendants

Suite à notre interpellation de ce 16 avril, le Ministre Denis Ducarme a réagi.

Des possibilités de report, de réduction et d’exonération de cotisations sociales ont été créées pour tous les indépendants. Les indépendants à titre principal, ainsi que les indépendants à titre complémentaire et les pensionnés actifs à partir d’un certain seuil de revenus imposables nets, peuvent bénéficier du droit passerelle s’ils interrompent leurs activités pendant 7 jours consécutifs au minimum.

Vous trouverez ci-après, pour votre complète information :

– le communiqué sur l’élargissement du droit passerelle. Les indépendants qui ont interrompu leur activité pendant au moins sept jours pourront bénéficier d’un revenu de 1.291,69 € par mois sans charge de famille et 1.614,10 € par mois avec charge de famille.
– ainsi qu’un document émanant du Cabinet du Ministre Ducarme qui est susceptible de vous intéresser (adresses et numéros utiles, voir aussi ci-dessous).


4. Pour les entreprises

L’octroi de primes à des entreprises touchées par la crise relève exclusivement de la compétence des Régions et donc du Gouvernement wallon.

Nous vous tiendrons bien évidemment informé(e)s de la suite que le Ministre Willy Borsus réservera à notre demande de soutien.


L’UPMC suit donc attentivement ce dossier.

 


Adresses utiles

Vous trouverez également ci-dessous d’autres sites d’information susceptibles de vous intéresser.

– Le Gouvernement wallon entend rassembler toutes les forces financières wallonnes pour maintenir le financement des entreprises. Les principaux outils financiers wallons (SRIW, SOGEPA, SOWALFIN, SOFINEX) sont à votre entière disposition : indemnitecovid.wallonie.be 
– Prêts, garanties, report de paiement, chômage temporaire… Retrouvez l’ensemble des solutions sur le site du 1890. Le numéro unique de contact 1890 pour les entreprises wallonnes pour toute demande d’information sur la pandémie, en lien avec les compétences wallonnes : www.1890.be
– Pour le Centre de crise : www.info-coronavirus.be/fr  0800 14 689
– Pour votre dossier au SPF Finances :  https://finances.belgium.be
– Si vos problèmes persistent, vous pouvez déposer une plainte auprès d’Ombudsfin – Ombudsman en conflits financiers qui peut aussi être saisi par les entreprises. https://www.ombudsfin.be
– Pour les mesures en rapport avec les banques :  https://www.febelfin.be
– Pour les mesures en rapport avec le secteur des assurances  https://www.fsma.be
– Pour votre dossier comme travailleur indépendant : INASTI : 0800 12 018 et votre caisse d’assurances sociales https://www.inasti.be
– Pour le dossier de vos salariés si vous en avez  https://www.rsz.be https://www.onem.be/fr  ONSS : 02 509 59 59 et votre secrétariat social

 


Résultats de notre sondage

Voici les résultats du sondage réalisé auprès des membres et non-membres entre le 09/04 et le 15/04/2020 :

 

 

 

 

 

 

 

Coronavirus : les bons outils pour vous faciliter le télétravail

Suivant les recommandations gouvernementales, nombreux d’entre nous télétravaillent. En raison du confinement, nous avons été amenés à revoir notre façon de travailler.

De la vidéoconférence au travail collaboratif, de très nombreux services existent pour être productif depuis chez soi. Sans avoir la prétention d’être exhaustif, l’UPMC vous propose quelques conseils et outils pour télétravailler efficacement.

Petit tour d’horizon…

 

1. Vidéoconférences pour les réunions à distance

Gardez le contact ! La vidéoconférence est la solution idéale pour la tenue de réunions virtuelles. Vous trouverez ci-dessous quelques outils de vidéoconférence permettant de recréer vos réunions de manière virtuelle, en tête-à-tête ou en équipe.

Skype (Microsoft) est la solution la plus connue et la plus simple à mettre en place. Vous devez posséder un compte Skype ou un compte Microsoft. Ce programme vous permet de réaliser des appels audio ou vidéo à deux ou en groupe. Skype intègre un module de partage d’écran permettant à vos interlocuteurs de visualiser en temps réel les documents affichés sur l’écran de votre PC. Skype limite toutefois le nombre de personnes.

Teams (Microsoft) permet la vidéoconférence et le partage de documents en même temps; même si le correspondant n’est pas équipé de Teams. Le correspondantw peut même faire des modifications dans un document. Teams est compatible avec smartphone (Apple ou non), tablette, pc (munis d’une caméra, c’est mieux). Au départ du calendrier Outlook, il y a la possibilité d’inviter les participants et d’y mettre le lien Teams. Pour découvrir l’outil, voici un petit webinar (il y en a d’autres sur le web).

WhatsApp : disponible sur iOS ou Android, l’application permet l’appel de groupe avec 4 personnes maximum. Pour contourner cette limitation, vous pouvez vous tourner vers Messenger pour lequel FaceBook a placé la limite à 50 participants.

FaceTime : réservé aux produits Apple, FaceTime prend en charge jusqu’à 32 personnes au cours d’un seul appel.

Webex et Jabber (Cisco) Webex est aussi leader de marché de web-conférence et propose aussi une version gratuite via Cisco Webex Meeting.

Zoom est un outil de vidéoconférence professionnel. Cet outil vous permettra de réaliser des réunions jusqu’à 100 participants d’une durée maximale de 40 minutes (pour la version gratuite). Chaque participant peut interagir depuis son ordinateur ou son smartphone. Disponible gratuitement sur Windows, macOS, Android ou iOS.

GoToMeeting est également une plate-forme de vidéoconférence professionnelle. Gratuite jusqu’à un certain nombre de personnes, payante au-delà de la période d’essai de 14 jours.

Google G Suite Pro 5€ par mois (gratuit jusqu’au 1er juillet durant la période de confinement). Voir ici. Google G Suite Pro vous permet d’organiser des vidéoconférences jusqu’à 250 personnes. Cet outil permet aussi le travail collaboratif dans les mêmes documents (word, excell, ppt..), le partage de fichiers…

Suite Office 365 Environ 99€/an

Slack : une messagerie collaborative! Cette plate-forme de communication collaborative est utilisable tant sur votre ordinateur que sur votre portable. Elle vous permet de collaborer très rapidement sous forme de messagerie instantanée. Il faut bien évidemment que tous les membres y adhèrent pleinement. Elle permet aussi les échanges de fichiers, les messages textes, les to-do lists… Slack s’utilise aussi bien depuis l’ordinateur que du smartphone.
Prix : version gratuite limitée.

De nombreuses autres solutions en ligne existent (Airtable, Sharepoint…) ainsi que les outils de mise à disposition et révision partagée (Microsoft, Adobe Acrobat, Dropbox paper)…

2. Back-up réguliers !

Nous vous recommandons également d’effectuer des back up dans le cloud (automatiques et instantanés) ainsi que des back-up réguliers sur deux disques durs externes afin d’avoir vos documents accessibles aisément.

3. Mots de passe

Petite astuce pour les utilisateurs Mac : créez-vous une note verrouillée dans l’application Notes avec tous vos mots de passe. Ils seront synchronisés de manière sécurisée et encryptée sur tous vos appareils Apple (Mac, iPhone, iPad, iCloud). Nous vous recommandons aussi de déposer ultérieurement vos accès et mots de passe chez un notaire si vous êtes seul à posséder des accès importants pour vos clients (noms de domaines, accès serveurs …) .

4. Téléphone

Nous vous recommandons de vous équiper d’oreillettes ou d’écouteurs avec fil afin de diminuer votre exposition aux ondes.

5. Derniers conseils

Continuez à communiquer et à rassurer vos collaborateurs !
N’hésitez pas à partager votre retour d’expérience sur notre page Facebook.
Mangez sainement et aérez-vous à proximité de chez vous.

Prenez soin de vous !

Covid-19, l’UPMC vous donne des pistes pour vous aider à faire face au ralentissement de vos activités

Nous vivons des moments délicats, mais nécessaires. Le confinement imposé par la lutte contre le Covid-19 a amené beaucoup d’entreprises à ralentir leurs activités ou même à fermer. Pour les professionnels de la communication que nous sommes, c’est une réaction en chaine, la fermeture des entreprises de nos clients nous contraignent à fermer les nôtres.

Bien sûr, nous sommes conscients de l’importance de ce confinement et nous devrons passer ce cap. Il n’empêche que c’est financièrement un moment très délicat.

Le rôle de notre Union Professionnelle est aussi de vous informer des pistes qui existent pour permettre à vos entreprises de faire face à la situation.

 

1. Au niveau de la TVA, de l’ISOc, de l’IPP ou du précompte professionnel

Le Service public fédéral des Finances a prévu la possibilité de demander :

– Des plans de paiement
– L’exonération des intérêts de retard
– Le remise des amendes pour non-paiement

Il s’agit de :

– Faire la demande dès réception de l’AER ou d’un avis de paiement au plus tard le 30/06/2020 via le formulaire
– Formulaire à envoyer au centre régional de recouvrement

Plus d’infos : Finances.belgium.be voir également le site Economie.fgov.be


2. Au niveau des cotisations sociales

Des reports peuvent être envisagés pour les premier et deuxième trimestres de 2020 (report d’un an sans intérêts de retard).

Par ailleurs, un call-center a été ouvert par l’INASTI pour toute question relative à l’activité des indépendantes par rapport au Covid-19. Vous pouvez appeler le 0800 12 018, numéro gratuit, tous les jours ouvrables, de 8h00 à 20h00.

Plus d’infos : Inasti.be


3. Au niveau des aides de la Wallonie

Le numéro unique de contact 1890 pour les entreprises wallonnes et les indépendants ayant des demandes d’information sur l’épidémie, en lien avec les compétences wallonnes. Site web : 1890.be

La SOWALFIN, la SOGEPA et la SRIW apporteront une réponse aux entreprises en difficulté de trésorerie sous forme de garantie bancaire ou de prêt, en concertation avec le secteur bancaire.

La Cellule de veille de la SOGEPA accompagnera les entreprises qui en font la demande concernant des problèmes plus spécifiques liés à leurs secteurs. Le SPW Economie assouplira les délais pour les entreprises soumises à un engagement vis-à-vis de la Wallonie (objectif en termes d’emplois, de délai de remboursement d’une aide…).


4. Pour les indépendants

Enfin, pour les indépendants, le droit-passerelle est une aide pour l’indépendant qui doit cesser son activité suite à une faillite, des difficultés financières, un évènement, ou un règlement collectif de dettes. Il peut en bénéficier pendant 12 mois maximum et conserve ses droits en matière d’assurance maladie-invalidité (sans paiement de cotisations). Le droit-passerelle peut être octroyé à un indépendant, au conjoint aidant ou à l’aidant indépendant qui exerce son activité à titre principal.

Le montant de l’aide financière est de :

– 1.291,69 € par mois en cas de non-charge de famille
– 1.614,10 € par mois en cas de charge de famille

L’indépendant peut bénéficier de cette aide plusieurs fois au cours de sa carrière professionnelle. Il ne peut cependant l’obtenir pendant plus de 12 mois sur l’ensemble de sa carrière. Si vous souhaitez bénéficier du droit-passerelle, vous devez contacter votre caisse d’assurance sociale.

 

Il ne nous reste qu’à souhaiter que cette crise sanitaire majeure ne perdure pas trop longtemps afin que chacun.e d’entre nous puisse reprendre ses activités professionnelles pleines au plus tôt et que la vie normale reprenne ses droits. D’ici là, prenez soin de vous et de vos proches, c’est le plus important !

NB : ces informations vous sont données de bonne foi et UPMC est n’est pas experte en fiscalité ou en comptabilité. Pour des informations plus précises le demandeur doit se tourner soit vers sa caisse de cotisations, soit vers le Ministère des finances, soit vers une des hotlines ouvertes dans le contexte du Covid-19 dont les numéros sont repris dans le message.

MidiCom : “L’information au service de l’intelligence stratégique de l’entreprise”

Interview de Pierre-yves Debliquy

«L’information en elle-même, n’a pas de valeur. On la valorise en fonction de sa capacité à apporter des éléments de réponse à des questions, d’aider à la prise de décisions », Pierre-yves Debliquy.

Le 18 juin dernier, Pierre-yves Debliquy, expert en intelligence stratégique, détaillait, à l’occasion d’un Midicom, l’importance de l’information dans le processus décisionnel de l’entreprise. Il était intéressant de revenir avec lui sur ce qu’est l’information, comment y faire face dans le flot quotidien mais aussi pourquoi une information mal utilisée peut être un danger pour l’entreprise.

Qu’est-ce qu’une information? Quel est son intérêt stratégique pour une organisation? 

A défaut de consensus sur la définition que l’on donne à l’information, toute discussion impliquant ce concept risque de tourner rapidement au quiproquo voire à l’incompréhension. Il est vrai qu’entre la définition de Shannon, qui réduit l’information à un signal échangé entre un émetteur et un récepteur, et l’acception communément admise pour le terme « news », on frise le grand-écart. C’est la raison pour laquelle, dans le contexte qui nous intéresse ici, j’ai choisi une des acceptions proposées par le Larousse: Fait porté à la connaissance d’un public. En conséquence, puisque les faits sont généralement avérés, les informations que je traite sont vraies. Par contre, il faut alors trouver d’autres noms pour tout ce que l’on étiquette « news » mais qui n’est pas « fait ». Dans ce cas, on pourrait parler d’affirmation, de mensonge, d’interprétation, d’analyse, de blague, de bobart… Sans toutefois oublier que des informations/faits peuvent-être rattachés à ces « news ». Par exemple, le fait basé sur des méta-informations qui acte que l’auteur, à une certaine date, a fait/dit quelque chose.

Rappelons aussi que, en elle-même, l’information n’a pas de valeur. On la valorise en fonction de sa capacité à apporter des éléments de réponse à des questions, d’aider à la prise de décisions. L’information sera stratégique selon que la question ou la décision sont stratégiques.

Dans le flot d’informations dont nous sommes abreuvés, existe-t-il des clés pour définir la pertinence ou la fiabilité d’une information?

Nombreux sont ceux qui se plaignent d’infobésité, cet état de paralysie dans lequel nous plonge un trop plein d’informations (au sens « news »). En fait, cet état est souvent symptomatique d’un déséquilibre fort entre le volume d’informations intéressantes que nous recevons et celui, nettement restreint, d’informations utiles. Les informations intéressantes sont celles qui répondent à une curiosité et qui permettent de briller en société, alors que les informations utiles sont celles qui permettent la prise de décisions. 

La première discipline à avoir pour éviter le syndrome d’infobésité, la plus importante sans doute, est de réserver son attention et son énergie aux informations utiles et de se détourner au maximum des informations seulement intéressantes. Toutefois, cette posture suppose l’identification préalable des problèmes et des décisions que l’on souhaite traiter.

Bien sûr, tout le monde rêve de pouvoir identifier instantanément les informations (faits) qui rendent les décisions évidentes (sans risque). Malheureusement, de telles situations idylliques sont plutôt rares et la qualification d’une news passe le plus souvent par le fastidieux exercice de l’identification de la source et de la datation de l’information. Et dans bien des situations, il est préférable de ne pas trop attendre « l’information qui tue » et de plutôt interroger de temps en temps les informations connues et disponibles pour évaluer leur contribution à une réduction des risques liés aux décisions à prendre.

En tout état de cause, une excellente question à se poser est celle de l’impact que pourrait avoir, sur ses propres réputation et crédibilité, l’utilisation ou la diffusion d’une information qui pourrait se révéler fausse dans un avenir plus ou moins proche…

Un exemple d’information qui a été mal utilisée par une entreprise et qui a eu de graves conséquences soit pour elle, soit pour le public?

Les exemples d’informations bien ou mal utilisées, peu importe, ayant entraîné d’importantes conséquences sont assez rares. Un exemple caricatural pourrait en être l’adultère. La plupart du temps, ce sont des faisceaux d’informations, bien analysés et mis en perspective, qui font basculer des situations. Et dans ces cas-là, il n’est nul besoin de disposer d’une pléthore d’informations et encore moins de la totalité (concept au moins aussi inutile qu’inaccessible). Une bonne maîtrise de méthodes d’analyse fera souvent la différence.

En la matière, une bonne pratique est de raconter l’histoire qu’on imagine derrière les informations dont on dispose. L’intérêt de la démarche réside dans la verbalisation des liens et des articulations entre les idées et les informations, enrichis de l’expérience et des connaissances tacites des personnes participant à l’exercice. Par souci de performance, dans la mesure du possible, on veillera à mettre en scène cette histoire dans un cadre théorique éprouvé (par exemple, un canevas dérivé ou inspiré par le Business Model Canvas d’Alexander Oosterwalder et Yves Pigneur) qui aide à porter un regard exhaustif sur la question. Je me souviens d’un tel exercice mené avec l’équipe d’intelligence stratégique d’une grande entreprise industrielle wallonne. Malgré la crainte initiale de mes deux interlocutrices, pour qui les quatre malheureuses informations qu’elles pensaient détenir étaient bien insuffisantes pour espérer un résultat probant, au bout de deux heures de palabres, qui ont fait remonter à la surface de nombreuses informations tacites oubliées, leur perception de la stratégie d’un concurrent est passée de la mise en place d’une petite initiative de e-commerce dans le but de vendre des déchets sur leur marché local à une manœuvre de lobby à grande échelle auprès des instances européennes dans le but de faire changer la nature du déchet. Je vous laisse imaginer les différences de réaction des équipes de management face à ces deux conclusions.

Interview : Olivier Moch
Photo : Philippe Donneaux


Les Lauréats des PRIX UPMC 2019

L’ Union Professionnelle des Métiers de la Communication – UPMC, a décerné ce vendredi 24 mai 2019 au Val Benoit de Liège, ses traditionnels prix de la communication. 

Voici les lauréats 2019…

PRIX DIGITAL : Opéra Royal de Wallonie-Liège et l’agence Spade scrl 
PRIX ETUDIANT :  Emilie PAULUS et Marine POSTAL
de la Haute Ecole de la Province de Liège 
PRIX ENTREPRISE :  Les Territoires de la Mémoire, asbl 
PRIX EVENEMENT : Festival International du Film de Comédie de Liège 


Bravo à tous les participants !

Reportage photographique complet sur https://www.upmc.be/…/201905-24-21eme-remise-des-prix-de-l…/